Les
disques ? Ils sont le sujet de
beaucoup de conversations ces temps-ci, et quand on en parle, c’est surtout de
manière négative : la douleur et l’inconfort que produit un disque
enflammé, un disque pincé, voire « écrasé », une hernie discale, une
« saillie » discale, etc. Ce sont les expressions que l’on entend le
plus couramment, mais a-t-on pensé également au confort que procurent les
disques dans notre quotidien ?
Les disques intervertébraux sont en fait
des coussins, des amortisseurs. Il y en a un entre chaque vertèbre. Pris
dans leur ensemble, les disques représentent environ ¼ de la longueur totale de
la colonne vertébrale.
Un
disque intervertébral comprend un anneau de cartilage fibreux (latin : annulus
fibrosus) ayant en son centre un noyau gélatineux (latin : nucleus
pulposus). Cette conformation lui donne des propriétés remarquables pour
absorber les différents chocs.
Lorsque
l’on observe une colonne vertébrale de profil, on remarque qu’elle n’est pas
rigide et droite, mais qu’elle possède plusieurs courbes : une lordose
cervicale, une cyphose dorsale et une autre lordose lombaire : la présence
de ces courbes donnent au rachis vertébral, associée à l’élasticité des
disques, une grande facilité de mouvements.
Quand la colonne est ajustée régulièrement,
libre de toute interférence nerveuse, de toute subluxation ou blocage vertébral, et par conséquent de tout
déséquilibre musculaire (qui peuvent produire des compressions exagérées sur
les disques), les disques fonctionnent de manière optimale.
La recherche scientifique a démontré que
l’ajustement chiropratique, proprement appliqué, est le moyen le plus efficace
et le plus sûr pour conserver la santé
et la fonction à la colonne vertébrale et à ses disques.
Donc, même en l’absence de douleur ou de
gêne, il parait évident que le fait
d’ajuster une colonne vertébrale régulièrement
PRESERVE les disques d’une usure
prématurée : c’est ce que l’on observe tous les jours dans nos
cabinets chiropratiques lorsque l’on fait des radios « avant-après »
de patients « réguliers » (ou « en entretien »,
c'est-à-dire ajustés toutes les 4 à 6 semaines en moyenne) 4 ou 5 ans après la
consultation initiale.
Voilà
une des nombreuses raisons (si l’on considère la santé et surtout le maintien de cette santé comme un
objectif à long terme) pour laquelle il
est indispensable de se faire ajuster régulièrement, même, et je dirais surtout, en l’absence d’un quelconque
symptôme : on « fonctionne » mieux et on
s’use moins vite !
Le cabinet sera fermé, pour cause de séminaire, du 11 juillet au 16 juillet
inclus.
A BIENTOT !
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