1.
Les
migraines et les maux de tête de tension: 9 français sur 10
souffrent de maux de tête, au moins ponctuellement. La recherche montre que les
manipulations vertébrales cervicales sont un moyen efficace de les traiter. Une
étude effectuée à l'Université Macquarie a montré que 72% de patients
"migraineux" ont noté une amélioration "substantielle" de
leur état après avoir été traités par la chiropraxie. En fait, la plupart des
maux de tête sont dus à des tensions musculaires au niveau du cou
(ordinateur, télé, bureau, voiture, etc.) L'ajustement chiropratique soulage
ces tensions.
2.
Le
stress et l'anxiété: Le stress, qu'il soit environnemental
(bruit, pollution, climat, attentats, pressions diverses, etc.), physique
(maladies, mauvaise nutrition, mauvais sommeil, subluxations, etc.) ou bien émotionnel
(mauvaises nouvelles, mauvaises relations, conflits, actualités, etc.) est
omniprésent et est la cause, ou l'aggravation, de multiples maladies: maux de
dos, hypertension, diabète, problèmes de digestion, d'immunité, de peau,
d'infertilité, d'impuissance, et même, à la longue, de cancer[1]. La chiropraxie
agit sur le système nerveux et aide l'organisme, en particulier en
éliminant les irritations et les pressions causées par les subluxations
vertébrales sur les nerfs, à se relaxer, à se détendre, et ainsi
à mieux lutter contre ces agressions et ces tensions quotidiennes.
3.
Une
faiblesse du système immunitaire: Les recherches les plus récentes montrent
que le système nerveux, le système endocrinien et le système immunitaire sont
inextricablement reliés. On sait maintenant qu'ils partagent des molécules
(IL-2) qui leur permettent de communiquer entre eux. Les chercheurs pensent que
les subluxations vertébrales, en dérèglant le fonctionnement du système
nerveux, causent également des changements anormaux dans le système
immunitaire. Un groupe de chercheurs a montré que les ajustements
stimulaient la production des leucocytes (globules blancs), et un autre groupe
a montré une augmentation de la production de cellules CD4+ T (leucocytes intermédiaires
de la réponse immunitaire) de 48% après un traitement régulier chiropratique[2]! On
s'aperçoit en effet dans les cabinets chiropratiques que les patients soignés régulièrement
sont souvent moins malades (d'infections) que les autres[3].
4. La perte de mobilité et de flexibilité: La
perte de mobilité, en particulier vertébrale, survient progressivement
chez pratiquement tous les individus. Elle est due au vieillissement, au manque
d'activités physiques régulières, aux professions trop "statiques",
aux mauvaises positions prises trop longuement, aux séquelles d'accidents, etc.
Les ajustements chiropratiques spécifiques, en provoquant, entre autre, une rupture
des adhérences articulaires vertébrales, permet une amélioration mécanique
de la mobilité de la colonne vertébrale,
ce dont témoigne effectivement la plupart des patients après quelques séances
de chiropraxie.
Rappelons
pour finir la vaste étude faite dès 1999 sur plus de 2800 patients chiropratiques par l’équipe du Docteur Robert Blanks
à l’Université de Médecine d’Irvine en Californie,[i] qui a
démontré, chez 76% des patients et
quelque soit la durée de leur prise en charge (de un mois à plus de trois ans),
une nette et durable amélioration :
1. De
leur état physique général (douleurs, symptômes divers, allergies,
infections, etc.)
2. De
leur état émotionnel et mental (humeurs, dépression, anxiété,
concentration, etc.)
3. De
leur réaction au « stress » (famille, travail, finances, etc.)
4. De
leur joie de vivre et de leur qualité de vie en général.
[1] Voir le livre d'Yviane Wiart: "Stress et cancer : Quand notre
attachement nous joue des tours"; Editions de boeck; 2014.
[2] Ainsi qu'une baisse de 8% des
CD4+ chez les patients non ajustés!
[3] Remarqué également chez mes propres
enfants (7) régulièrement ajustés depuis leur plus jeune âge, voire depuis le
jour de leur naissance pour certains, et
en vérité très rarement "malades" (rhumes, otites, etc.)
[i] A study of Network
Patients’ self-reported outcomes, Departement of
Anatomy & Neurobiology, College of Medicine, and Department of Sociology,
University of California, Irvine. Investigators: Robert H. Blanks, Ph.D., Tanya
L. Schuster, Ph.D., W. Ralph Boone, Ph.D., D.C. and Marnie Dobson.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire