D’après l’American Chiropractic Association, 14% des patients qui consultent un chiropraticien le font pour des maux de tête. La plupart des gens considère les maux de tête occasionnels comme une simple gêne mais ceux qui les endurent quotidiennement ont une existence extrêmement pénible.
La plupart des gens considère les maux de tête occasionnels comme une simple gêne mais ceux qui les endurent quotidiennement ont une existence vraiment pénible.
Chiropracticresearch.org a
publié une étude faite à la Duke University qui confirme les
résultats remarquables obtenus par la chiropratique. L’auteur de l’article, le
Dr Alex Vasquez déclare:
« Les résultats démontrent que la chiropratique
est très efficace chez les patients souffrant de maux de tête de tension (les
plus courants), en particulier si l’on compare avec les traitements prescrits le
plus souvent comme ceux à base d’Amitriptyline » (L'Amitriptyline commercialisé sous les noms Elavil®, Tryptanol®,
Endep®, Elatrol®, Tryptizol®, Trepiline®, Laroxyl®) est un antidépresseur tricyclique utilisé
pour le traitement de fond des patients atteints de migraines fréquentes, et dont la liste des effets
secondaires tient sur deux bonnes pages !!! )
Il poursuit :
« L’intérêt principal des soins
chiropratiques est qu’ils sont non seulement curatifs mais également
préventifs. Ils peuvent influencer la
course d’une maladie chronique et éviter des douleurs futures. Des études récentes ont montré que les
soins appropriés et les visites régulières chez le chiropraticien aidaient
l’organisme à maintenir un bon équilibre physiologique et à préserver
l’intégrité du système nerveux et de la
colonne vertébrale. L’équilibre délicat de l’organisme, qui peut être
perturbé par le vieillissement, la gravité et la fatigue physique, n’est pas un
« mystère » médical et la réponse n’est pas nécessairement
chirurgicale ou pharmaceutique. Au contraire, l’une des méthodes les moins
traumatisantes et au meilleur coût-efficacité pour les maladies chroniques est
l’application de soins chiropratiques »
CES ETUDES RECENTES
CONFIRMENT ENCORE UN FOIS CE QUE LES CHIROPRATICIENS SAVENT ET CONSTATENT
DEPUIS LONGTEMPS : LA CHIROPRATIQUE EST UN MOYEN TRES EFFICACE POUR
SOULAGER CEUX QUI SOUFFRENT DE MAUX DE TETE OU DE MIGRAINES.
PS1. En prime, ce mois-ci, et devant la recrudescence
de ce type de désordre infantile, un court extrait de mon livre : « La
chiropratique, Principes fondateurs réactualisés »
« Ceux qui critiquent habituellement la profession chiropratique prennent souvent la colite infantile du nourrisson[1] comme l’exemple typique d’une condition traitée par les chiropraticiens et qui ne devrait apparemment pas faire partie de leur champ de compétence.
Au contraire, cette étude montre justement que la colite infantile représente un bon exemple de ce que l’on pourrait appeler le principe fondamental de la chiropratique : le fait que le principal centre d’intérêt de la chiropratique n’est pas le traitement de conditions pathologiques spécifiques, mais essentiellement le bon fonctionnement du système neuromusculaire.
Pour le patient il semble bien que le chiropraticien « traite » des symptômes ou des désordres spécifiques, mais du point de vue chiropratique, ce que le chiropraticien « traite » véritablement, ce sont des lésions, des restrictions vertébrales que l’on appelle des subluxations.»
PS2
Mise en garde contre le tétrazépam
AFP Publié le
12/01/2013 à 10:03
L'Agence nationale
de sécurité du médicament (ANSM) a lancé une mise en garde contre le tétrazépam, un médicament utilisé dans le traitement des contractures musculaires
douloureuses, en raison d'effets indésirables cutanés potentiellement graves.
L'ANSM précise, dans un communiqué, avoir saisi l'Agence européenne du
médicament (EMA) pour lui "recommander la réévaluation du rapport
bénéfice-risque de ce médicament et la suspension de son autorisation de mise
sur le marché (AMM)".
Le tétrazépam qui fait partie de la classe pharmaceutique des benzodiazépines, est utilisé France pour ses propriétés myorelaxantes (relaxation des muscles), notamment en rhumatologie. Commercialisés depuis 1969, les médicaments qui contiennent du tétrazépam par voie orale sont essentiellement le Myolastan et diverses spécialités génériques.
Une enquête de pharmacovigilance effectuée sur toute la période allant du début de la commercialisation à juin 2012 a mis en évidence "une fréquence élevée d'effets indésirables cutanés (..) tels que des syndromes de Lyell et de Stevens-Johnson (qui se traduisent par des destructions brutales de la couche superficielle de la peau et des muqueuses) et des syndromes d'hypersensibilité médicamenteuses (DRESS)".
1.616 effets indésirables ont été répertoriés au cours de la période (648 graves) dont la moitié (805) sont des effets cutanés. Onze décès ont été recensés au total.
Parmi les effets graves autres que cutanés, l'ANSM signale des effets neurologiques et des effets psychiatriques.
En attendant que l'EMA statue sur la demande française de réévaluation du tétrazépam, l'agence du médicament rappelle qu'il existe des alternatives therapeutiques au tétrazépam dont des prises en charge non médicamenteuses. Quand les spécialités à base de tétrazépam doivent être utilisées, l'ANSM recommande de "limiter leur durée d'utilisation au strict minimum".
Le tétrazépam qui fait partie de la classe pharmaceutique des benzodiazépines, est utilisé France pour ses propriétés myorelaxantes (relaxation des muscles), notamment en rhumatologie. Commercialisés depuis 1969, les médicaments qui contiennent du tétrazépam par voie orale sont essentiellement le Myolastan et diverses spécialités génériques.
Une enquête de pharmacovigilance effectuée sur toute la période allant du début de la commercialisation à juin 2012 a mis en évidence "une fréquence élevée d'effets indésirables cutanés (..) tels que des syndromes de Lyell et de Stevens-Johnson (qui se traduisent par des destructions brutales de la couche superficielle de la peau et des muqueuses) et des syndromes d'hypersensibilité médicamenteuses (DRESS)".
1.616 effets indésirables ont été répertoriés au cours de la période (648 graves) dont la moitié (805) sont des effets cutanés. Onze décès ont été recensés au total.
Parmi les effets graves autres que cutanés, l'ANSM signale des effets neurologiques et des effets psychiatriques.
En attendant que l'EMA statue sur la demande française de réévaluation du tétrazépam, l'agence du médicament rappelle qu'il existe des alternatives therapeutiques au tétrazépam dont des prises en charge non médicamenteuses. Quand les spécialités à base de tétrazépam doivent être utilisées, l'ANSM recommande de "limiter leur durée d'utilisation au strict minimum".
[1]
Dans son livre, Chapman-Smith commente une étude faite en 1999 au
Danemark (par Wiberg, Nordsteen et Nilsson) sur 50
nourrissons âgés de 2 à 10 semaines souffrant de colite infantile, et qui démontre la supériorité incontestable des
ajustements chiropratiques sur le traitement médical classique (après 12 jours,
une réduction de 38% dans la durée
des crises de colite chez les nourrissons traités par le diméthicone contre une réduction de 67% chez les nourrissons soignés uniquement par la
chiropratique !)
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