LA RECHERCHE CHIROPRATIQUE
La recherche scientifique chiropratique, faite par des chercheurs chiropraticiens, a toujours été (comme le montre l’extrait de mon livre que je vous propose ci-dessous) à l’origine de la reconnaissance internationale et de l’acceptation de notre profession.
En effet, lors des investigations effectuées par le Ministère de la Santé à l'aide de moteurs de recherche spécialisés, le fait que notre profession soit en pointe dans les recherches validées sur les troubles musculo-squelettiques a été déterminant dans l'impression globalement positive que les fonctionnaires du ministère ont eu de notre discipline.
Parmi les éléments qui permettront aux chiropraticiens d'accéder à une crédibilité accrue dans la société et auprès de nos partenaires des professions médicales et paramédicales, la recherche tient un rôle de premier plan.
Le but de la recherche, c'est, bien sûr, de comprendre, et de faire comprendre, mieux, comment, et pourquoi notre discipline fonctionne. De démontrer l'impact de l'ajustement articulaire ou de notre prise en charge globale, sur la santé des patients qui s'adressent à nous, et ainsi d’obtenir des assurances et des mutuelles un meilleur remboursement de nos soins.
A cet effet, l’Association Française de Chiropratique a créé un Fond de Dotation pour la Recherche en Chiropratique (FDRC), dont je suis le trésorier, et qui a pour but, comme son nom l’indique, de récolter des fonds pour financer cette recherche.
Si vous voulez participer au développement de notre profession (et accessoirement, payer moins d’impôts !), vous pouvez faire un don (donnant droit à une réduction d’impôt sur le revenu égale à 66% du montant du don dans la limite de 20% du revenu imposable) ou mieux encore, demander une autorisation de prélèvement mensuel (comme pour toute autre œuvre caritative) à l’adresse suivante :
La recherche scientifique chiropratique, faite par des chercheurs chiropraticiens, a toujours été (comme le montre l’extrait de mon livre que je vous propose ci-dessous) à l’origine de la reconnaissance internationale et de l’acceptation de notre profession.
En effet, lors des investigations effectuées par le Ministère de la Santé à l'aide de moteurs de recherche spécialisés, le fait que notre profession soit en pointe dans les recherches validées sur les troubles musculo-squelettiques a été déterminant dans l'impression globalement positive que les fonctionnaires du ministère ont eu de notre discipline.
Parmi les éléments qui permettront aux chiropraticiens d'accéder à une crédibilité accrue dans la société et auprès de nos partenaires des professions médicales et paramédicales, la recherche tient un rôle de premier plan.
Le but de la recherche, c'est, bien sûr, de comprendre, et de faire comprendre, mieux, comment, et pourquoi notre discipline fonctionne. De démontrer l'impact de l'ajustement articulaire ou de notre prise en charge globale, sur la santé des patients qui s'adressent à nous, et ainsi d’obtenir des assurances et des mutuelles un meilleur remboursement de nos soins.
A cet effet, l’Association Française de Chiropratique a créé un Fond de Dotation pour la Recherche en Chiropratique (FDRC), dont je suis le trésorier, et qui a pour but, comme son nom l’indique, de récolter des fonds pour financer cette recherche.
Si vous voulez participer au développement de notre profession (et accessoirement, payer moins d’impôts !), vous pouvez faire un don (donnant droit à une réduction d’impôt sur le revenu égale à 66% du montant du don dans la limite de 20% du revenu imposable) ou mieux encore, demander une autorisation de prélèvement mensuel (comme pour toute autre œuvre caritative) à l’adresse suivante :
FDRC
5 Rue Marcelin Berthelot
89000 Auxerre
La recherche chiropratique vous remercie par avance. A bientôt.
« Mais le plus remarquable est que la recherche contemporaine et les moyens modernes mis à sa disposition permettent désormais de confirmer ce qu’avait observé et affirmé D.D.Palmer il y a plus de 110 ans :
L’ajustement chiropratique peut apporter une nette amélioration à de nombreuses conditions viscérales :
• Insuffisance pulmonaire ;
• Douleurs pelviennes gynécologiques et syndrome PPOD (Pelvic Pain and Organic Dysfonction ; )
• Syndrome prémenstruel et dysménorrhée ;
• Enurésie ;
• Troubles intestinaux : constipation et syndrome du côlon irritable ;
• Troubles gastriques : dyspepsie et indigestion ;
• Colite infantile du nourrisson (voir note page 84) ;
• Hypertension et arythmie cardiaque ;
• Asthme ;
• Troubles de la vision ;
• Troubles otovestibulaires : perte d’audition, otite moyenne, vertiges et acouphènes ;
• Troubles du déficit de l’attention/hyperactivité chez l’enfant (TDA/H) ;
En 1999, une vaste étude faite sur plus de 2800 patients chiropratiques par l’équipe du Docteur Robert Blanks à l’Université de Médecine d’Irvine en Californie, a démontré, chez 76% des patients et quelque soit la durée de leur prise en charge (de un mois à plus de trois ans), une nette et durable amélioration :
1. De leur état physique (douleurs, symptômes divers, allergies, infections, etc.)
2. De leur état émotionnel et mental (humeurs, dépression, anxiété, concentration, etc.)
3. De leur réaction au « stress » (famille, travail, finances, etc.)
4. De leur joie de vivre et de leur qualité de vie en général.
Enfin, en 1996, les chercheurs Ian Coulter et Eric Hurwitz, en étudiant pendant trois ans un groupe significatif de 414 personnes âgées de plus de 75 ans, ont confirmé que celles qui étaient suivies régulièrement par un chiropraticien étaient moins souvent hospitalisées, utilisaient moins de médicaments, et restaient plus actifs et plus mobiles que les personnes âgées qui n’étaient pas suivies.
Comme on peut le constater, la recherche sur les mécanismes et sur les effets de l’ajustement est bien devenue l’une des branches les plus dynamiques et les plus productives de la profession chiropratique.
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