Bienvenue

Bienvenue sur le blog du Centre Chiropratique Auxerrois

mardi 10 septembre 2019

Les nouvelles de la chiro septembre 2019

Un canal étroit, qu’est-ce que c’est ?

Le canal lombaire étroit, encore appelé sténose du canal lombaire, ou syndrome de rétrécissement du canal rachidien, désigne la diminution du diamètre du canal qui se trouve au niveau des vertèbres lombaires.                                                                                                                                                          Mesuré sur scanner ou IRM, il devrait normalement être supérieur à 15mm, mais à partir du moment où il diminue en dessous de 13mm, les racines nerveuses libres dans le canal se trouvent comprimées, et l’influx nerveux ne peut plus circuler correctement, causant des symptômes plus ou moins graves. 

Il existe plusieurs causes de rétrécissement du canal (rétrécissement congénital, hernie discale, glissement d’une vertèbre sur une autre, cambrure lombaire trop importante, …) mais la plus commune est l’arthrose, c’est pourquoi les symptômes n’arrivent en général qu’après la soixantaine. Des ostéophytes ou « becs de perroquets » se développent dans le canal, causant une diminution de l’espace… 

La douleur se situe le plus souvent au niveau des cuisses et des jambes, généralement des deux côtés (néanmoins il peut y avoir qu’un seul côté douloureux), et augmente au fur et à mesure de la marche ou de l’effort. Parfois la douleur en bas du dos n’est même pas présente. En plus des douleurs, les plaintes les plus fréquentes sont : - Fatigue dans les jambes - Sensation de marcher sur du coton - Fourmillements  - Engourdissements - Crampes (souvent la nuit !)

Il existe souvent ce qu’on appelle un « périmètre de marche », c’est-à-dire une obligation de faire une pause à cause des symptômes, au bout d’une certaine distance.                                                 Lors de rétrécissements très importants, il arrive que les patients doivent s’arrêter toutes les 5 minutes à cause des douleurs !  La démarche est plutôt penchée en avant, car le fléchissement du dos soulage temporairement les symptômes 

L’ajustement chiropratique permet, en redonnant le maximum de mobilité à la colonne vertébrale, de stimuler et décomprimer les racines nerveuses pour que l’influx nerveux puisse circuler normalement. 

Si vous souffrez de compression nerveuse, de douleur descendant dans les jambes, il est urgent de lever au plus vite cette compression pour rétablir un fonctionnement optimal de votre système nerveux ! N’attendez plus pour consulter un chiropracteur !

Les nouvelles de la chiro Août 2019

Hernie discale, de quoi parle-t-on ?


Notre colonne vertébrale est constituée de 24 vertèbres mobiles. Entre chacune des vertèbres se trouve un disque intervertébral, sorte de coussin amortisseur.  Ce disque est composé de deux éléments : un noyau central (nucleus) entouré d'un anneau fibreux (annulus) qui attache les deux vertèbres l'une à l'autre.


Si l'anneau se fissure, la substance du noyau fait saillie à l'extérieur de manière plus ou moins importante, ce qu'on appelle une hernie discale. 

Le plus souvent, elles se produisent au niveau des vertèbres lombaires : ce débordement du disque intervertébral peut alors provoquer la compression d'une racine nerveuse, et donc des douleurs dans les jambes, les mollets, et même les pieds.
 
Mais quelles sont les causes des hernies discales ? 

• La dégénérescence des disques intervertébraux, qui s’assèchent avec l’âge. La colonne vertébrale perd de sa tonicité, de son élasticité et de sa hauteur. • Une action brusque dans une mauvaise posture, comme soulever une lourde charge en position de torsion du tronc, ou un choc important.
Août 2019


• Le surplus de poids et la grossesse, qui augmentent les tensions sur la colonne vertébrale. • Une prédisposition héréditaire : plusieurs membres d’une famille sont parfois atteints. Les personnes prédisposées ont tendance à souffrir d’une hernie discale plus précocement, parfois même avant l’âge adulte ! 

Une hernie, ça se soigne ? 
Les hernies discales sont souvent extrêmement douloureuses et invalidantes dans la vie de tous les jours, mais prises en charge de manière adaptée, elles peuvent être très bien soignées !

Le but primordial est d’éviter l’opération : les nombreux risques et complications inhérents à ce genre d’intervention (anesthésies, thromboses, complications liées à des fautes techniques, infections, spondylodiscites, fibroses, blessures des racines nerveuses, rétrécissements du canal rachidien, instabilité articulaire, hypermobilité, dégénérescence précoce des disques et des articulations postérieures des étages adjacents, récidives de hernie discale) aboutissent à un taux d’échec de 20% à 60% selon les sources médicales « officielles », et ne devraient faire envisager cette thérapeutique qu’en tout dernier recours ! 

C’est ici que l’ajustement chiropratique peut intervenir, ajustement qui, s'il est parfaitement maîtrisé et appliqué par des mains expertes, est à la fois sécuritaire, doux et sans douleur.
 
Les manipulations vertébrales réalisées avec un protocole d’exécution rigoureux, pratiquées par les chiropracteurs depuis de nombreuses années, sont dans la grande majorité des cas de hernie, non seulement sûres, mais rapidement et durablement efficaces.

Les nouvelles de la chiro juillet 2019

LA CHIROPRAXIE POUR TOUTE LA FAMILLE !

Partie 3 : Les sportifs


«Je fais confiance à la chiropratique comme le fait aussi toute ma famille. J’ai découvert que la meilleure façon de faire est de consulter les chiropracteurs non seulement après les blessures, mais aussi avant d’être blessé. C’est ce que les chiropracteurs font, prendre soin des gens comme nul autre thérapeute.» Arnold Schwarzenegger, 5 fois Mr Univers, et 7 fois Mr. Olympia


L'activité physique fait partie intégrante d'un style de vie sain et équilibré, que ce soit chez les enfants, les adolescents, et les adultes quel que soit leur âge.

La pratique des différents sports, qu'elle soit d'un niveau amateur ou professionnel, peut néanmoins provoquer des déséquilibres et des blessures, à cause des fortes sollicitations musculaires et articulaires qu'elle engendre.

La répétition de gestes techniques durant les entraînements ou les compétitions amène le corps jusqu’à ses limites physiologiques et mécaniques, pouvant entraîner des traumatismes importants (tendinites, déchirure, périostites, fractures de stress...) si on ne les détecte pas à temps ! Sans forcément en arriver d'emblée au stade de « traumatisme », les contraintes physiques peuvent provoquer des dysfonctionnements de votre appareil locomoteur. 

Ils entraînent progressivement des déséquilibres imperceptibles, car indolores au départ, mais qui nuisent à vos performances et sont susceptibles, à la longue, de conduire à des douleurs voire à une blessure ! 
 
Auprès des sportifs, le chiropracteur agit à plusieurs niveaux :


1.  Il assure une performance articulaire et musculaire maximale par des ajustements, en restaurant une mobilité articulaire correcte. 

2.  Il prévient au mieux les blessures, en identifiant les problèmes de posture ou d’appui, ainsi que les muscles et articulations susceptibles d'être lésés par une sur-utilisation. Il limite également leur apparition par les manipulations, en contrecarrant les effets délétères de la répétition des mouvements. 

3.  Il soulage efficacement lors des blessures comme les tendinites, les contractures, les douleurs vertébrales et articulaires, et rétablit un bon alignement osseux en cas d'entorses ou de foulures. 

4.  Il permet de diminuer le temps de récupération après effort ou blessure : par l'intermédiaire du système nerveux stimulé par les ajustements, l'appareil locomoteur est bien innervé et le sportif peut reprendre son entraînement de plus belle !



Savez-vous ce qui limite la pratique de votre activité sportive ? 

La chiropraxie peut améliorer le potentiel musculaire, la coordination, la souplesse articulaire, la capacité respiratoire, la récupération après l'effort…  Le corps fonctionne mieux et vos capacités sont optimales !

 

Les nouvelles de la chiro Juin 2019

La prise d’anti-inflammatoires est-elle réellement sans risque ?


Souvent pris en automédication contre les douleurs ou la fièvre, les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) sont pourtant des médicaments à utiliser avec précaution, et rarement en première intention.

L’Agence du Médicament (ANSM) appelle à la vigilance. Une enquête confiée au centre de pharmacovigilance de Tours et de Marseille en avril 2019 a révélé les risques graves présentés par le kétoprofène et l’ibuprofène. Présents dans les médicaments Nurofen®, Advil®, Antarène®, Ketum® et autres, ces antiinflammatoires avaient déjà fait auparavant l'objet de signalements pour des complications graves, qui ont été le déclencheur de l'enquête.  Des études épidémiologiques réalisées depuis 2002 suggèrent que ces médicaments augmentent le risque d’infections comme le zona, la varicelle, les infections pulmonaires, les angines ou encore les otites, sans oublier les infections dentaires.  "337 cas de complications infectieuses dont 32 décès ont été répertoriés pour l'ibuprofène, et 46 cas dont dix décès avec le kétoprofène", explique le Dr Philippe Vella, directeur des médicaments antalgiques à l'ANSM.

Certains anti-inflammatoires présentent des risques cardio-pulmonaires, ce serait en particulier le cas du diclofénac (Voltarène®). Une vaste étude danoise, publiée en septembre 2018, a montré que cette molécule, prise par voie orale, entraînait un risque accru de problèmes cardiovasculaires graves (fibrillation auriculaire, AVC, insuffisance cardiaque…), même chez les personnes n’ayant aucun facteur de risque. 

Même aux doses normales, la prise d’AINS expose à des risques de brûlure d’estomac, voire d’ulcère, de perforation ou d’hémorragie gastrique.  D’où l’importance de les avaler avec un verre d’eau pour éviter que le comprimé adhère à la paroi de l’œsophage, et une collation ou un repas.

Arthrose, arthrite, sciatique, règles douloureuses, migraine, entorses, foulures, tendinites : les douleurs d’origine inflammatoire sont la première indication de ces médicaments.  Toutefois en cas de lombalgie, il semble inutile de se précipiter sur la boîte d’ibuprofène : en 2017, une étude publiée par des chercheurs australiens montrait qu’il ne soulageait qu’un patient sur six ! 

  Le message des autorités sanitaires est clair : toujours commencer par le paracétamol (qui n’est pas un anti-inflammatoire). Si la douleur ne baisse pas après un ou deux jours de traitement, on peut alors tenter de la soulager avec un anti-inflammatoire non stéroïdien, seul ou en alternance avec le paracétamol. L’ibuprofène se prend d’abord en comprimé de 200 mg, puis de 400 mg si nécessaire, sans dépasser 1 200 mg par jour.

En conclusion, même si les anti-inflammatoires peuvent se montrer d’une très grande efficacité, leur utilisation doit rester limitée et de courte durée. 



Pour toute douleur chronique, notamment du dos, il est important d’être pris en charge par un professionnel adapté, qui pourra venir à bout de votre douleur sans risque pour votre santé.