Plusieurs études récentes montrent les résultats positifs que peut apporter la chiropratique sur les cas d’énurésie nocturne, plus communément appelée « pipi au lit ». En particulier le Journal of Manipulative and Physiological Therapeutics (JMPT) montre une amélioration modeste mais certaine chez des enfants souffrant de ce problème et ajustés régulièrement, par rapport à d’autres enfants souffrant du même problème mais non suivis par un chiropraticien.
Dans l’une de ces études, 171enfants qui « mouillaient leur lit » 7 nuits par semaine furent choisis. Après quelques séances de chiropratique, la moyenne générale tomba à 4 nuits par semaine, et pour 25% des enfants, à 3 nuits par semaine. A la fin de l’étude, 15% des enfants étaient considérés comme guéris.
Une autre étude portant sur 46 enfants montre une baisse de 17,9% de nuits « mouillées » (wet nights !) après un plusieurs séances de chiropratique.
Des « preuves » donc, certes encore modestes, mais des résultats significatifs néanmoins.
QUELQUES DATES HISTORIQUES A RETENIR :
- 1979 : Le Rapport néo-zélandais : Une étude gouvernementale, destinée à l’origine à discréditer la chiropratique, produira un rapport de plus de 3000 pages recommandant dans ses conclusions d’inclure la chiropratique dans le programme de santé officiel !
- 1986 : L’étude OCHAMPUS : Effectuée par le Ministère de la Défense U.S, l’étude, qui dura plus de 50 ans, conclura que les ajustements chiropratiques améliorent la mobilité et raccourcissent la durée du traitement pour le mal de dos.
- 1987 : En Italie, à Milan, une étude gigantesque faite sur 70000 patients chiropratiques démontrera un taux de récupération, suite à une blessure, plus rapide, et une baisse du nombre de journées de travail perdues. La chiropratique fut ensuite partiellement incluse dans le système de santé italien (elle est totalement reconnue dans ce pays depuis l’année dernière…)
- 1990 : L’étude de l’équipe Meade publié par le British Medical Journal, effectuée sur 1600 patients, montrera, pour la lombalgie, la supériorité du traitement chiropratique sur un traitement hospitalier. La chiropratique fut ensuite incluse dans le système de santé anglais.
- 1992 : Une étude néerlandaise, encore publiée par le British Medical Journal, affirmera que la chiropratique est plus efficace que la kinésithérapie pour soigner les lombalgies et les cervicalgies de longue durée.
- 1993 : Le Rapport Manga : En août 1993, le Ministre de la Santé de la
Province de l’Ontario chargera le Professeur d’Economie Sanitaire de
l’Université d’Ottawa Pran Manga de lui fournir un rapport sur :
« L’efficacité thérapeutique et économique du traitement
chiropratique des lombalgies ».
Les constatations du désormais fameux Rapport Manga s’avéreront encore une fois sans équivoque :
« D’après les données disponibles, en particulier celles des études cliniques les plus fiables sur le plan scientifique, l’ajustement vertébral auquel ont recours les chiropraticiens est plus efficace pour soigner les lombalgies que les autres traitements. Soit de nombreuses thérapies médicales proposées ont une validité douteuse ; soit, de toute évidence, elles sont inadéquates (…) On réaliserait des économies très importantes si le traitement des lombalgies était plus souvent le fait des chiropraticiens plutôt que celui des médecins. Les données disponibles pour le Canada, et pour d’autres pays également, conduisent à chiffrer les économies qu’il serait possible de réaliser à plusieurs centaines de millions de dollars chaque année (…) Et il conclura :
« Tous ces faits considérés dans leur ensemble démontrent de façon incontestable l’intérêt de promouvoir un recours beaucoup plus généralisé aux facilités offertes par la chiropratique dans le traitement des lombalgies » - 1995 : Une étude effectuée par des chirurgiens orthopédistes ( !) pour la U.S Agency for Health Care Policy and Research recommandera de choisir la chiropratique avant la kinésithérapie et la chirurgie.
- 1999 : Une vaste étude faite sur plus de 2800 patients chiropratiques par l’équipe du Docteur Robert Blanks à l’Université de Médecine d’Irvine en Californie, a démontré, chez 76% des patients et quelque soit la durée de leur prise en charge (de un mois à plus de trois ans), une nette et durable amélioration :
• De leur état physique (douleurs, symptômes divers, allergies, infections, etc.)
• De leur état émotionnel et mental (humeurs, dépression, anxiété, concentration, etc.)
• De leur réaction au « stress » (famille, travail, finances, etc.)
• De leur joie de vivre et de leur qualité de vie en général.
MERCI DE VOTRE ATTENTION.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire